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Formation initiale et recyclage : comment maintenir ses habilitations électriques à jour ?
Dans les environnements industriels, tertiaires ou de construction, le risque électrique figure parmi les principaux dangers professionnels. Les habilitations électriques constituent un dispositif réglementaire essentiel pour encadrer les interventions sur ou à proximité des installations électriques. Encadrées par la norme NF C 18-510, ces habilitations ne sont pas délivrées à vie : elles exigent une formation initiale, puis un recyclage périodique pour rester valides.

Quelle durée de validité pour l’AIPR ? Démarches à suivre pour la mise à jour ou le renouvellement
Instaurée dans le cadre de la réforme anti-endommagement, l’Autorisation d’Intervention à Proximité des Réseaux (AIPR) est devenue un document incontournable pour les acteurs du BTP, des travaux publics, des collectivités et des entreprises intervenant à proximité de réseaux sensibles (gaz, électricité, télécommunications, etc.). Mais une fois cette autorisation délivrée, combien de temps reste-t-elle valable ? Quand et comment faut-il penser à la renouveler ? La réglementation impose-t-elle une formation à chaque fois ? Que se passe-t-il en cas d’expiration ? L’enjeu dépasse la simple conformité administrative : une AIPR non valide peut entraîner des sanctions, des arrêts de chantier, voire des accidents évitables.

Responsabilité des employeurs dans la délivrance de l’AIPR : ce que dit la réglementation
Les interventions à proximité des réseaux (canalisations, câbles, ouvrages enterrés ou aériens) présentent des risques importants, tant pour les travailleurs que pour les ouvrages eux-mêmes. Pour encadrer ces activités, le législateur a instauré l’Autorisation d'Intervention à Proximité des Réseaux (AIPR), obligatoire depuis le 1er janvier 2018. L’objectif est une vigilance réglementaire, une traçabilité des compétences, et peut, en cas de manquement, entraîner des sanctions lourdes.

Comment devenir Sauveteur Secouriste du Travail ? Déroulé, objectifs et certification
Le Sauveteur Secouriste du Travail (SST) est une figure centrale de la prévention en entreprise. Il incarne à la fois la capacité à réagir face à une situation d’urgence et le relais terrain des bonnes pratiques de sécurité. De plus en plus d’entreprises choisissent de former leurs salariés à cette compétence, qui conjugue geste qui sauve et engagement QHSE. Mais comment devient-on SST ?

SST : pourquoi chaque entreprise devrait former des secouristes du travail
Le secourisme en entreprise est souvent perçu comme une simple formalité. Une obligation administrative de plus. Pourtant, derrière l’acronyme SST – Sauveteur Secouriste du Travail – se cache bien plus qu’une case à cocher. Il s’agit d’un véritable pilier de la prévention, d’un acte citoyen au cœur du monde professionnel, et parfois même… d’un geste qui sauve une vie. Chaque jour, des milliers de salariés en France sont confrontés à des risques d’accidents, de malaises, ou d’incidents graves. Face à ces situations, avoir sur place un collègue formé aux premiers secours peut faire toute la différence.

L’AIPR est-elle obligatoire pour tous les chantiers ? Analyse des cas d’application
Depuis sa mise en œuvre effective en janvier 2018, l’AIPR (Autorisation d’Intervention à Proximité des Réseaux) est devenue une pièce incontournable du puzzle réglementaire sur les chantiers français. Conçue pour renforcer la sécurité des personnes et des infrastructures, cette autorisation permet de s’assurer que les intervenants disposent des connaissances nécessaires pour travailler à proximité de réseaux enterrés ou aériens sensibles (gaz, électricité, eau, fibre optique…).

Comment bien se préparer à l’examen AIPR ? Méthodes, outils et bonnes pratiques
Depuis le 1er janvier 2018, toute personne intervenant à proximité de réseaux aériens ou souterrains sensibles (gaz, électricité, eau, télécoms…) doit être titulaire d’une AIPR (Autorisation d’Intervention à Proximité des Réseaux), délivrée par son employeur.

B0 H0 H0V : quelles habilitations pour les non-électriciens intervenant à proximité ?
Sur de nombreux chantiers, en usine ou dans les bâtiments tertiaires, il est fréquent que des salariés non électriciens interviennent à proximité d’installations électriques : nettoyage industriel, maintenance mécanique, perçage de cloisons, peinture, pose de mobilier, inspection technique… Ces activités peuvent paraître anodines, mais elles comportent un risque électrique réel lorsque les travailleurs se trouvent dans l’environnement immédiat d’un tableau, d’un coffret, ou de câbles sous tension. Face à ce constat, la réglementation française impose que toute personne intervenant à proximité d’installations électriques soit habilitée.

Habilitation électrique : obligations légales, catégories et conditions de délivrance
Dans de nombreux secteurs professionnels, l’électricité est omniprésente : installations industrielles, bâtiments tertiaires, chantiers BTP, réseaux de distribution, maintenance d’équipements… Pourtant, l’électricité est aussi l’un des risques les plus graves et les plus sous-estimés. Un simple contact accidentel peut entraîner une électrisation, une brûlure profonde, voire la mort. Pour prévenir ces dangers, la réglementation française impose une exigence claire : aucune personne ne peut effectuer de travaux d’ordre électrique sans habilitation préalable. Cette habilitation électrique, délivrée par l’employeur après évaluation des compétences, constitue une autorisation formelle d’intervenir en sécurité sur des installations ou équipements électriques.

Profil opérateur, encadrant, concepteur : quelles obligations AIPR pour chaque métier ?
Depuis plusieurs années, la sécurité autour des réseaux enterrés et aériens s’est imposée comme un enjeu majeur sur les chantiers. Ruptures de canalisations de gaz, coupures électriques, dommages sur la fibre optique ou l’eau potable… chaque incident impacte à la fois la sécurité des personnes, le bon déroulement des travaux, et le fonctionnement des services publics ou privés. C’est pour prévenir ces accidents que l’État a renforcé la réglementation à travers l’instauration de l’Autorisation d’Intervention à Proximité des Réseaux (AIPR), rendue obligatoire au 1er janvier 2018. Cette autorisation concerne différents profils professionnels selon leur rôle dans la chaîne de responsabilité.

AIPR : Comprendre les enjeux d’une autorisation obligatoire pour prévenir les dommages réseaux
Chaque année, des milliers d’incidents surviennent sur les chantiers français en raison de contacts ou de ruptures accidentelles de réseaux enterrés ou aériens : câbles électriques, conduites de gaz, fibres optiques, canalisations d’eau… Ces incidents ne sont pas anodins. Ils engendrent des risques pour la sécurité des intervenants, des coupures de service pour des milliers d’usagers, des retards de chantier, et des coûts économiques importants.

Réhabilitation de bâtiments amiantés : gestion des risques et coordination SPS
La réhabilitation de bâtiments anciens constitue un enjeu majeur pour la transition écologique, la valorisation du patrimoine et la mise aux normes des infrastructures. Cependant, lorsqu’il s’agit d’intervenir sur des bâtiments contenant de l’amiante, le chantier prend une toute autre dimension. L’amiante, matériau longtemps utilisé pour ses propriétés isolantes et ignifuges, est aujourd’hui reconnu comme hautement toxique. Sa manipulation exige des protocoles stricts, un encadrement rigoureux, et une coordination sans faille entre les acteurs du chantier.